Une méthode de réflexion pour mieux comprendre l'espace stellaire.
Le plein et le vide...
Personnellement, j’aime observer et comprendre l’univers interstellaire comme des bulles dans une eau gazeuse.
En inversant la notion de plein et de vide, beaucoup de notions trouvent une logique :
Dans la vision classique, différentes ondes lumière, radios, se propagent dans ce que nous appelons vide et ces ondes s’arrêtent face à un objet solide.
En inversant cette façon de voir plein et vide, les ondes deviennent comme une résonnance dans une matière homogène, l’espace vide, et sont arrêtées par une discontinuité de cette matière, une planète par exemple.
Alors, avec cette logique, la gravitation est une pression moindre de cette matière homogène entre deux bulles, comme des bulles qui se rejoignent dans un liquide par une dépression due à la moindre quantité de liquide entre elles. Je serais curieux de vérifier si ce ne sont pas les mêmes lois qui engendrent ces accélérations.
Il devient logique par exemple, qu’une onde perde de l’énergie dans cette matière homogène que nous appelons vide et se décale vers le rouge avec la distance et soit arrêtée par un objet bulle.
La notion d’expansion de l’univers devient totalement différente, et le rayonnement fossile est la vibration de cette matière compacte qu’est l’univers parsemée de bulles que nous appelons objets stellaires.
Cette façon de comprendre l’univers entraine de nombreuses interprétations découlant de cette inversion du plein et du vide. Exemple la matière pourrait apparaitre comme une déchirure de ce continuum appelé vide de même que la cavitation crée des bulles dans un liquide sous une forte dépression.
La limite de la vitesse de la lumière n’est plus que la limite de résonnance d’une onde, au delà de laquelle cet espace stellaire plein se déchire sous forme d’une nouvelle bulle-matière.
De même que la vitesse du son est la même quelle que soit la vitesse de déplacement de la source d’émission, car elle est conditionné par la nature même de l’atmosphère, la vitesse de la lumière est la même dans toutes les directions quelle que le déplacement de l’étoile émettrice.
(Contactez-moi si cette façon de voir vous intéresse).